Concernant le financement du culte musulman et de ses ministres du culte, il ressort du rapport d´information n° 757 du Sénat (session extraordinaire de 2015-2016) une sensation de nébuleuse non maîtrisée par l’État français.
Il apparaît, en effet, d’une part que la communauté musulmane est sous forte influence des pays d’origine, et d’autre part que ses ministres du culte ont des statuts diversifiés. Le tout dans un maelström sans réelle instance représentative de cette communauté.
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